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Dans l’univers de l’entrepreneuriat, le financement est souvent vu comme la clé du succès. Beaucoup pensent que si une personne échoue, c’est faute de moyens financiers. Dans les appels à projets, dans les concours de plans d’affaires ou dans les échanges entre jeunes porteurs d’idées, on entend souvent : « Si seulement j’avais de l’argent, mon business serait déjà loin ». Pourtant, ce n’est pas si simple.
La majorité des financements liés aux plans d’affaires sont proposés sous forme de crédit, avec obligation de remboursement. Les subventions existent, mais sont rares, très sélectives et demandent généralement un dossier succinct plutôt qu’un business plan de 50 pages. Surtout, celles-ci ne viennent presque jamais au début : elles renforcent des entreprises déjà en action.
Beaucoup d’auteurs et d’entrepreneurs expérimentés déconseillent fermement de contracter une dette pour débuter. Une seule voix nuance cela : Robert T. Kiyosaki, l’auteur du best-seller Père riche, père pauvre. Il distingue deux catégories :
• Bonne dette : c’est une dette utilisée pour acquérir des actifs qui génèrent de l’argent.
• Mauvaise dette : c’est une dette contractée pour financer un mode de vie ou un projet non rentable.
Exemple simple : si tu achètes une maison à crédit pour la louer, et que le loyer couvre le remboursement, tu gagnes.
Si tu dois compléter avec ton argent chaque mois, tu perds.
Sur le papier, c’est logique.
Dans la réalité, c’est une compétence financière avancée.
Et la vérité est que la plupart des débutants n’ont pas encore cette intelligence financière. C’est pourquoi s’endetter pour un premier business n’est pas seulement un risque… c’est souvent une erreur fatale.
Dans la vie, on apprend toujours par essais et erreurs :
— Le bébé tombe avant de marcher.
— L’apprenti chauffeur cale avant de bien conduire.
— Le cultivateur se trompe avant d’avoir de bons rendements.
Curieusement, en entrepreneuriat, beaucoup pensent que le premier projet doit réussir. Et ceux qui échouent une première fois… se disent souvent « l’entrepreneuriat n’est pas fait pour moi ».
Pourtant, la première entreprise sert principalement à découvrir :
• comment trouver des clients,
• comment gérer des fournisseurs,
• comment fixer des prix,
• comment évaluer des coûts cachés que personne ne dit lors des formations.
Cette phase est coûteuse en énergie, en temps… et souvent en argent.
Et si cet argent est emprunté, l’échec devient douloureux sur deux fronts :
→ Perte de l’entreprise
→ Dette à rembourser sans revenus
Prenons une histoire tirée du livre La chèvre de ma mère.
Un vieux monsieur, après des années d’économies, décide d’importer des marchandises de Chine. Il met toutes ses économies dans l’opération. Lorsque la marchandise arrive, les frais de douane tombent comme une surprise. Il n’a plus rien, impossible de récupérer ses produits. Son business meurt avant même de commencer.
Maintenant imagine que cet argent ait été emprunté :
Retard de remboursement → pénalités → humiliation → et parfois prison.
En Afrique, les risques sont encore plus grands car :
• les taux d’intérêts sont élevés,
• les échéances sont courtes,
• la pression sociale est forte (“Tu as pris notre argent !”).
La première entreprise doit être financée par de l’argent qu’on peut se permettre de perdre.
La dette ressemble à la formalisation d’une entreprise.
On formalise quand les choses marchent déjà. La dette suit la même logique.
Tu t’endettes pour :
• augmenter ta capacité,
• répondre à une demande déjà existante,
• acheter plus pour vendre plus,
• améliorer une activité rentable.
Tu ne t’endettes pas pour :
• essayer,
• supposer,
• imaginer.
Un bon indicateur est le suivant :
Si tu n’as encore aucun client → ne t’endettes pas.
Commence petit, teste ton business modèle (le système qui génère ton argent).
Lorsque tu vois que la demande dépasse tes capacités, là, une dette peut être un levier.
C’est exactement ce que les banques observent :
elles ne financent pas les idées, elles financent les résultats.
Démarrer sans crédit oblige à :
• devenir créatif,
• apprendre à vendre,
• apprendre à gérer son cash,
• développer le sens de l’opportunité.
Ce sont les vrais muscles de l’entrepreneur.
Robert Kiyosaki appelle cela « le QI financier ».
Et ce QI ne s’apprend pas en salle climatisée avec des powerpoints.
Il s’apprend sur le terrain, face au client, face aux pertes, face aux doutes.
Celui qui commence trop facilement avec l’argent des autres apprend souvent trop tard… que l’argent fuit plus vite qu’il ne vient.
Une entreprise jeune traverse toujours des moments difficiles :
clients qui tardent à payer, fournisseurs exigeants, imprévus, erreurs de gestion…
La dette n’a pas de patience.
La banque n’écoute pas : « Les affaires sont un peu dures en ce moment ».
Le remboursement est une obligation froide et régulière.
Pour un entrepreneur sans expérience dans la gestion :
c’est la panique, la confusion, les erreurs… parfois la fuite.
Un entrepreneur débutant doit se concentrer sur apprendre à survivre, pas à montrer qu’il roule fort.
Quand on croit que l’argent fait le business, on finit prisonnier du crédit.
La plupart des faillites viennent de là :
premier crédit → problème → autre crédit → plus gros problème…
L’entreprise peut paraître grande : beaux locaux, machines neuves, photos sur Facebook…
Mais à l’intérieur : dettes, stress, peur permanente.
Celui qui a tout financé par crédit ne dort jamais tranquille.
Il a réussi… mais il n’est pas libre.
Et la liberté est l’essence de l’entrepreneuriat.
Démarrer un business avec une dette, c’est comme apprendre à nager avec un sac de pierres sur le dos.
Tu peux y arriver, mais la probabilité de couler est plus grande.
Il est préférable de :
• commencer petit,
• apprendre,
• planter des graines,
• perdre un peu de ton argent personnel,
• puis devenir un bâtisseur solide.
Ensuite, et seulement ensuite, tu pourras utiliser la dette comme un levier pour grandir.
Commence avec ce que tu as.
L’expérience que tu gagneras vaut plus que n’importe quel financement.
Parce que les banques financent rarement les idées… mais toujours les entrepreneurs qui ont prouvé qu’ils savent transformer un franc en valeur.
L’avenir appartient à ceux qui apprennent avant de s’endetter.
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A Propos de l'auteur

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